Le côté blanc des nuits perdues

2005
04.02

Ce qu’il y a d’embêtant avec le locataire permanent de mon caleçon, c’est qu’il m’empêche souvent de penser aussi librement que je le voudrais, notamment dans les discussions les plus difficiles avec les femmes qui me sont le plus proche. Comme par exemple avec l’ex-compagne de parties de jambes en l’air qui s’est trouvée un nouvel amour et un nouvel amant en deux personnes différentes, et qui ne sont pas moi.

Il y a des soirs comme ça, je me dégoute. C’est peut-être ça qui me sépare d’un salaud.

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