Trait d’unions
Echanges
24.07
01:12:50 Lui: nous sommes assis dans une boîte bondée, sur un siège, les autres boivent ou dansent…
01:12:57 Lui: tu es devant moi, entre mes cuisses
01:13:18 Lui: tu as l’une de tes courtes jupes que tu aimais tant ado
01:13:52 Lui: mes mains s’aventurent de plus en plus haut sur tes cuisses, jusqu’à m’apercevoir que tu ne portes rien sous cette charmante jupe
01:14:18 Lui: moi-même, je ne porte qu’un léger pantalon de toile, et une chemise légère
01:15:11 Lui: je te caresse et t’écarte les lèvres, alors que tu te concentres sur les gens qui dansent sur la piste, essayant de garder un visage impassible
01:15:55 Lui: tu sens mon sexe s’élargir et gonfler contre tes fesses, et tu te presses encore plus contre mon ventre
01:17:15 Lui: l’une de tes mains s’aventure derrière toi, et tu cherches à ouvrir les boutons de mon pantalon pendant que l’un de mes doigts entre en toi et te fouilles sans ménagement
01:18:16 Elle: continue…
01:19:05 Lui: tu arrives enfin à dégrafer le dernier bouton, et enfournes ta main dans mon pantalon pour me caresser aussi, tu n’y arrives pas très bien, mais le contact de tes doigts manque me faire exploser, alors que mes doigts te fouillent de plus en plus profondément, ne ressortant que pour jouer avec ton clitoris qui gonflent sous mes caresses
01:19:51 Lui: ta maladresse t’agace, et t’excite, tu sens que je bande de plus en plus, cela en devient insupportable…
01:21:31 Lui: tu mouilles tellement que ta jupe commence à être humide, à force des jeux de mes doigts qui vont et viennent en toi, qui t’élargissent et te font oublier le lieu où nous sommes
01:22:40 Lui: tes mouvements sur mon sexe sont de plus en plus saccadés, de plus en plus nerveux, tu le sors de mon pantalon pour pouvoir être plus libre de tes mouvements, tout en te serrant contre moi pour que personne ne te voit
01:23:17 Lui: tu en oublierais même le jeune homme en face de toi, qui pourrait apercevoir le jeu de mes doigts en toi… il s’en faudrait de si peu…
01:23:54 Lui: tu fermes les yeux pour visualiser ce que tu fais, et te projettes l’image de mon sexe dans ta main
01:24:31 Lui: quand tu les rouvres, tu t’aperçois que le jeune homme te fixe outrageusement l’entrejambe
01:25:38 Lui: cela t’excite, et tu fixes ses yeux alors que mes doigts passent doucement contre ton anus, et remonte en toi, encore plus violemment
01:25:52 Lui: le jeune homme, gêné que tu l’aies vu, se lève et s’en va
01:26:34 Lui: personne ne nous regarde, tous dansent sur la piste maintenant, le bruit des paroles échangées et de la musique couvre les légers gémissements que tu n’arrives plus à retenir
01:27:10 Elle: …
01:27:29 Lui: je sens tes doigts serrer mon sexe brutalement, violemment
01:28:44 Lui: enfin, je sors mes doigts de toi, pendant que tu continues tes caresses, et relève ta jupe jusqu’au bord de ton sexe, et te soulevant par les hanches, je te laisse me guider en toi au milieu du bruit et des mouvements désordonnés des danseurs
01:29:40 Lui: tu ne dois pas bouger, du moins trop vite, pour ne pas te faire remarquer, tu restes donc d’abord immobile sur moi, ne faisant bouger que les muscles de ton sexe le long de moi
01:30:25 Lui: je te sens vibrer contre moi, autour de moi, alors que nos mains se serrent sur le nylon du canapé où nous sommes assis
01:31:25 Lui: et imperceptiblement, tu commences à bouger au dessus de moi, en t’appuyant sur mes mains et sur mon ventre
01:32:06 Lui: mes mains retournent sous ta jupe pour te caresser, accélérer encore ton plaisir, que notre étreinte ne dure pas trop
01:32:30 Lui: je te sens faire jouer ton vagin pour me presser en toi, et me faire jouir
01:33:28 Lui: quand je sens que je vais partir, je serre de mes doigts ton clitoris, tu pousses un cri de surprise en sentant mes doigts te blesser
01:35:20 Lui: et tu jouis en sentant que je me déverse en toi… tu es en sueur, ton haut transparent te colle aux seins, et tu t’écroules contre moi pour respirer… tu as l’impression que tout le monde te regarde, mais personne n’a rien vu… Je me retire de toi, mais tu sais encore mon sexe, gonflé, contre tes fesses nues, et seuls le liquide qui coule de toi et ta tête qui tourne te rappellent que je viens de te faire l’amour dans une boite de nuit bondée…
01:35:49 Lui: je te glisse à l’oreille : « on se « re-joint » sur la piste ? »
Jeux de mains
25.07
04:15:21 Lui : je ne tape qu’a une main c’est pas pratique
04:16:31 Elle : (hum)
04:16:39 Elle : que fait l’autre..
04:16:48 Elle : j’aime quand tu me racontes..
04:17:02 Lui : elle est sur mon prépuce
04:17:02 Elle : j’imagine ta voix (celle que j’aime..)
04:17:31 Lui: elle joue avec la corolle au travers
04:19:05 Lui: si tu ne dis rien ca ne marche plus
04:19:16 Elle : j’ecrivais
04:19:38 Lui : ?
04:19:47 Elle : que j’avais envie de jouer avec ma langue.. entre tes ..
04:20:05 Elle : pendant que tu te caressais
04:20:42 Lui : j’aimerais que tu regardes, et te voir
04:20:57 Lui : entre mes ?
04:21:07 Elle : tu n’aimes pas le mot..
04:21:24 Lui : dis
04:21:26 Elle : un pluriel dans cette zone ..
04:21:43 Lui : dis le
04:22:04 Elle : je joue avec ma langue entre tes couilles
04:22:18 Lui : 😉
04:22:22 Elle : j’ai envie de les sucer et de les aspirer toutes entieres dans ma bouche
04:23:03 Lui : j’aimerais que l’une de tes mains quitte ton clavier
04:23:25 Lui : pour aller glisser sous ton maillot
04:24:03 Lui : et te fouille comme je te fouillerais moi, sans ménagement, a te faire mal
04:24:06 Elle : j’ai ete plus rapide, ou plus impatiente..
04:24:18 Elle : j’ai enleve mon maillot et suis nue
04:24:34 Elle : faut il que je le remette?
04:24:39 Lui : ca ne me dit pas ou sont tes mains
04:25:07 Lui : non, trop tard tu n’as plus qu’ a t’ ouvrir plus
04:25:48 Elle : ma main droite t’ecrit
04:26:11 Lui : et la gauche décrit …
04:26:16 Elle : je suis encore relativement seche..
04:26:42 Elle : excite moi
04:26:45 Lui : de larges mouvements sur ta chatte (chatte ?)
04:27:21 Lui : ma main gauche enserre maintenant mon sexe
04:27:43 Elle : le mien est tout lisse
04:27:55 Lui : décrivant de petits va-et-vient sur le gland recouvert
04:28:45 Lui : je t’imagine deja tremblante…. pleine de tes doigts
04:29:38 Elle : je le suis de plus en plus
04:29:58 Elle : j’aimerais avoir un objet a me mettre sous la main je crois
04:30:09 Lui : je décalotte le bout avec des mouvements plus rapides
04:30:23 Lui : a te mettre tout court :$
04:30:34 Elle : a defaut de pouvoir m’empaler sur ton sexe brulant
04:30:55 Lui : tremblante ?
04:31:13 Elle : j’ai envie de te voir, de t’entendre, de sentir ton excitation
04:31:29 Lui : tes doigts devront te suffire
04:32:10 Lui : mon gland est découvert, comme dans ta bouche
04:33:14 Lui : je change de mains pour accelerer mes mouvements
04:33:51 Elle : j’accelere les miens en imaginant que ce sont tes mains
04:34:09 Lui : je voudrais sentir ton sexe humide et lisse ta bouche chaude descendre sur moi pendant que je joue avec tes levres
04:34:44 Lui : mets tes doigts en toi
04:35:09 Elle : j’ai envie que tu me fouilles sans menagement
04:35:37 Elle : que tu me montres que je suis tienne, a ta merci, soumise a tes desirs, tes plaisirs
04:36:32 Lui : quand je suis sur toi, et que je t’écrase de mon poids
04:37:04 Lui : caresse toi comme si j’étais deja en toi
04:37:39 Lui : imagine le frottement de mon ventre contre tes fesses, le bruit de mes couilles contre ton pubis
04:38:03 Lui : mon corps qui frappe le tien a chaque passage
04:38:47 Lui : et fouille toi comme si j’étais moi-meme en train de te punir de ne pas t’avoir vu si longtemps, sens mes doigts trop gros t’écarter encore
04:39:39 Elle : ca me fait mal, mais j’ai ce plaisir si particulier, ce melange de jouissance et de douleur
04:40:10 Lui : imagine alors si je violais ton seul barage encore….
04:40:33 Elle : j’ai envie que tu viennes sur moi, que tu m’eclabousses les fesses, le dos,..
04:40:56 Lui : pendant que tes doigts te fouilleraient de la sorte, et que j’écraserais tes seins dans mes mains
04:41:29 Lui : j’aimerais venir dans ta bouche, pour t’embrasser et sentir cela en toi
04:42:05 Elle : je suis trempee.. et me pourleche les doigts
04:42:31 Elle : (oui je suis gourmande..)
04:42:36 Lui : les mouvements de ma main sont de plus en plus larges, de plus en plus rapides
04:43:05 Lui : j’aimerais que ce soit ta main qui mene mon corps a la jouissance
04:43:07 Elle : j’ai envie de presser mes doigts a la naissance de ton sexe..
04:43:31 Elle : pour te caresser, te titiller et mieux sentir tes elans
04:43:50 Lui : continue
04:44:24 Elle : j’ai envie de te prendre dans ma bouche
04:44:38 Elle : de te sucer profondement en te regardant jouir
04:44:42 Lui : moi je voudrais te plaquer contre un mur, violer ton sexe a peine ouvert
04:45:09 Elle : en sentant ton regard sur moi, ta main qui m’attrape les cheveux pour m’obliger a suivre ta cadence
04:46:00 Elle : tu sais que j’ai mal et pourtant tu continues..
04:46:21 Elle : mes mains courent en meme temps le long de ton dos, tes fesses, tes couilles
04:46:37 Elle : j’ai envie d’aspirer ton sexe tout entier..
04:46:55 Elle : de le sentir vibrer sous mes coups de langue..
04:47:06 Elle : tu le sens cogner au fond de ma gorge..
04:47:33 Lui : et jouir contre tes amygdales
04:47:48 Elle : mon regard te defie alors que tout mon corps est a toi
04:48:14 Lui : t’obliger a rester sur mon sexe alors que je jouis en toi…
04:49:08 Lui : pourtant tu étouffes, tu suffoques sous la pression dans ta bouche
04:49:37 Elle : je te sens chaud, gonflé, pret à eclater..
04:49:42 Lui : et tu sens mes doigts qui te fouillent des autres orifices, qui t écartelent
04:50:06 Elle : je fremis.. et cherche tes doigts
04:50:33 Elle : ma chatte s’offre a tes mains, a tes doigts encore trops grands qui l’ecartelent
04:50:54 Elle : je gemis
04:51:11 Elle : j’ai envie que tu jouisses..
04:51:19 Lui : ta bouche va de plus en plus vite sur moi
04:51:30 Lui : de plus en plus profond a mesure que mes doigts te maltraitent
04:51:56 Elle : je suis partagee entre ma bouche qui te suce jusqu’a l’asphyxie et tes mains qui me fouillent et me deconcentrent
04:52:28 Elle : je m’agrippe a toi, a tes jambes..
04:52:47 Elle : je fremis, je tremble
04:53:08 Elle : je te sens fremir dans ma bouche.. je vais de plus en plus vite
04:53:27 Elle : je t’enserre entre mes levres, t’aspire
04:53:40 Lui : mets ton sexe sur mes levres
04:53:43 Elle : tu vois ton sexe aller et venir dans ma bouche
04:54:26 Lui : que je puisse te gouter avant de jouir
04:54:47 Elle : je viens me coller a ta bouche
04:55:03 Lui : te fouiller l’oeillet de ma langue, pendant que mes doigts continuent à faire frémir ta chatte
04:55:11 Elle : mes levres sont deja ecartées par tes mains.. je suis deja humide.. fremissante
04:56:21 Elle : ce ‘viol’ de ma derniere barriere m’excite et me fait peur, tu le sens , tu sens que je depasse un ‘interdit’, que j’essaie de rester de marbre mais que je n’y arrive pas
04:56:22 Lui : je te force par des mouvements de bassin a m’avaler toujours plus
04:56:35 Lui : Ou sont tes doigts ?
04:57:02 Elle : still in the same place
04:57:13 Elle : i won’t go there and you know it
04:57:15 Elle : 😉
04:57:18 Lui : je sens ton anus s’offrir, s’ouvrir, frémir de ces caresses
04:57:39 Elle : tu es le seul habilite a le fouiller, et de ta langue..
04:57:51 Elle : moi meme n’y ai pas « droit »
04:58:07 Lui : mes doigts a l’intérieur de toi s’agitent
04:58:34 Elle : tu me sens me cambrer de plaisir sous tes caresses..
04:58:59 Lui : j’ai envie de te prendre, encore…
04:59:13 Lui : je ne sais pas arreter ta caresse
04:59:50 Elle : j’ai envie de te sentir contre moi, en moi
05:01:00 Elle : mon desir est presque bestial
05:01:08 Lui : (il est cinq heures…) je te jette sur le coté, tu manques tomber du lit… mes membres sortent de toi, et tu es pantelante, seule, sur le coté, avant que je ne te rejoignes
05:01:40 Elle : je me sens un peu chienne, beaucoup tienne
05:02:25 Lui : (caresse-toi plus fort…) je te laisse sur le coté, ne t’adresse pas un signe de tendresse, pas un baiser, faisant juste glisser mon sexe face à tes levres béantes
05:03:32 Lui : ma main claque sur ta fesse, deux fois, avant que tu ne sentes mon sexe dur s’immiscer en toi, t’écartant plus que mes doigts ne l’ont fait
05:03:46 Elle : j’ecarte un peu plus les cuisses
05:03:57 Elle : je m’offre a ton regard
05:05:32 Lui : mon sexe est encore couvert du sperme que tu as avalé tout à l’heure, tu ne sens mon sexe que quand il arrive contre tes fesses au bout de sa course, et du bout des levres tu recois le plaisir de mes va-et-vient en toi
05:06:33 Lui : je prends ta bouche de mes doigts, et tords tes levres pour les mordre
05:07:23 Lui : je sens ton sang affluer à ton visage, griffe un sein qui passe sous ma main qui descend vers ton sexe
05:07:50 Lui : alors que je pilonne ton ventre, je maltraite ton clitoris de mes ongles, le presse entre mes falanges
05:08:14 Lui : pour décharger des ondes de sensations chaudes et douloureuses vers ton bas-ventre
05:08:59 Lui : tu sens mes fessées maintenant continues qui pleuvent sur ton arrière-train maintenant rouge, mais ne renonces pas pour autant a venir a la rencontre de mes coups de reins
05:10:00 Elle : j’en frissonne de plaisir
05:11:21 Lui : tes fesses claquent contre moi, à la vitesse des coups de reins que tu me rends pour t’empaler encore plus sur moi
05:12:27 Lui : je t’attrape par les cuisses et te souleve sur moi, pour pouvoir relever tes fesses et les ouvrir. Je peux faire monter ou descendre tes fesses sur ma bite en jouant sur la pression que j’exerce sur tes jambes
05:13:33 Lui : tu te sens déchirée par mon sexe, écartelée par mes doigts
05:14:09 Lui : tu ne peux plus bouger que par les mouvements que j’intime a ton corps, tu es emprisonnée par mes mains et plus exposée que jamais
05:14:14 Elle : mes ongles s’enfoncent ds ta peau
05:15:35 Lui : j’ai envie de prendre ce que tu ne veux pas me donner, je te souleve le bassin pour sortir mon sexe de toi, et le diriger vers ton oeillet plein de salive
05:16:41 Lui : tu te débats, tu ne veux pas, mais tu sens mon gland appuyer contre l’entrée de ton ventre la plus intime, tu ne peux pas esquiver le mouvement que j’exerce sur tes fesses
05:13:01 Lui : j’ai toujours envie de toi, ca ne change rien, c’est agacant
Un corps de plus
26.07
La soirée commence dans un petit restaurant de la capitale. Nous nous sommes donnés rendez-vous ici pour mieux nous connaître, et mieux nous apprendre. Après tout, malgré les quelques photos que nous avons échangées, et les quelques messages qui nous ont permis de nous découvrir un peu plus, nous ne savons rien les uns des autres. Ma compagne et moi-même nous sommes habillés comme pour un premier rendez-vous avec un flirt, le regard de l’autre remplaçant les miroirs :
« – La chemise est bien, dis-moi ?
– Tu crois que je mets une culotte ? »
Nous sommes excités comme des collégiens, elle d’autant plus qu’elle a glissé dans sa chatte les boules de geisha qu’elle garde dans le tiroir de sa table de nuit. De temps à autre, ma main glissant sous sa robe constate avec envie son état.
Notre nouvelle amie a elle aussi soigné sa tenue, nous gratifiant d’un décolleté que j’apprécie dès les premiers instants, alors que nous nous faisons la bise à l’entrée du restaurant.
La conversation est tout d’abord un peu gênée, tournant autour des vies de chacun, mais assez vite, elle tourne sur nos fantasmes, nos expériences, et nos envies. Il a été défini que la soirée se déroulerait sans aucun doute sans suite le soir même, de façon à ne pas induire une gêne ou une crainte quelconque, normale pour une première fois, mais très vite le désir devient de plus en plus présent dans les mots et les regards, l’atmosphère de plus en plus lourde à mesure que nous nous dévoilons.
C’est donc tout naturellement que nous proposons à la jeune femme de venir continuer la soirée chez nous, alors que les desserts sont apportés. Elle sait depuis l’entrée que mes mains s’attardent le long du sexe de ma compagne, et leurs mains jouent ensemble sous la table de façon à peine voilée.
Arrivés dans l’appartement, je n’ai pas le temps de me diriger vers le bar pour servir un verre à chacune. Elles se sont déjà entraînées dans la chambre, et commence timidement des caresses preque tendres. C’est la première fois que chacune découvre le corps d’une femme. Je résiste au désir de les rejoindre, et, m’asseyant sur le bord du lit, je les regarde. Leurs mains se cherchent, beaucoup, trouve des bretelles et des ceintures qu’elles enlèvent, des courbes qu’elles dévorent de leur paume, des vides qu’elles comblent enfin.
Notre amie est toute surprise quand elle constate la présence du jouet dans le sexe de sa camarade de jeux. Elle tire sur la ficelle, délicatement, et fait sortir les deux boules l’une après l’autre, arrachant à ma femme un petit cri bref. Depuis le début de la soirée qu’elle attend le moment d’être prise par autre chose…
Je quitte mon poste d’observateur pour l’embrasser, puis rejoint son entrejambe pour être le premier à profiter de l’excitation qu’elle a ressentie toute la soirée. Ma salive se mêle à elle, ma langue joue avec ses lèvres, mais très vite mes doigts la fouillent brutalement, cherchant à exciter son ventre, à le faire s’ouvrir encore plus. Pendant ce temps, les deux femmes s’embrassent de plus en plus sauvagement alors que ma compagne fouille elle aussi le sexe de notre hôte.
Puis, n’y tenant plus, sa bouche descend rejoindre ses doigts, et sa bouche mord alors le clitoris tendue de la jeune femme. Je me retrouve très vite moi aussi avec le pantalon sur les chevilles, et la bouche de la charmante invitée gobant mon sexe jusqu’à la garde, alors que ses mains massent mes couilles, s’attardant jusqu’à mon anus. Nous formons un triangle mouvant sur le lit, joint ensemble par la salive et la sueur.
Je ne prendrais pas notre amie, du moins pas ce soir. Quand je sens que je ne tiens plus dans la bouche de l’une ou l’autre de mes partenaires, je retourne ma compagne sur le ventre, et la plaçant entre les jambes de son acolyte, je la prends sans ménagement, au rythme de ses coups de langue sur le sexe qu’elle dévore.
Grands écarts
04.09
Petite chienne,
J’ai envie de ton cul, et tu n’es pas là. Je t’imagine sur le ventre, écartelée, tes lèvres écartées par l’ouverture de tes jambes, ton cul levé par un oreiller passé sous ton ventre. J’imagine un voile sur tes yeux fous, les lumières presqu’éteintes, et te laisser là, le ventilateur dirigé sur ton sexe pour qu’il ne s’endorme pas, pour que tu te tortilles de désir pendant que je te regarde en silence.
Je m’imagine me branlant en te regardant gémir, frémir du vent qui te frôle et t’envahit, et, quand je n’y tiens plus, me rapprocher de toi avec les jouets que nous allons acheter, ouvrir ta bouche pour y faire pénétrer mon sexe, que tu le suces comme un glaçon. J’enfonce d’un coup un énorme godemichet dans ta chatte, et te pilonne avec pour te faire crier. Je sens tes dents s’imprimer sur ma bite, et te fesse pour t’apprendre à ne pas recommencer. Les allers-retours du gode dans ton con te déforment, te déchirent les chairs, alors que je me penche vers tes fesses pour mieux le regarder te perforer, puis fourrer ma langue dans ton cul. Tu sens ma langue violer ton anus qui se resserre sous mes lapements. Les coups de boutoir du sexe artificiel continuent à te labourer, et tu ne peux maintenir ma langue hors de ton cul plus longtemps, je sens ton sphincter se desserrer pour laisser passer ma langue qui vibre maintenant à l’intérieur de toi.
Ta bouche s’affole sur ma queue, suce de plus en plus fort. Tu as finalement bougé ta main pour me branler le plus vite que tu le peux, au rythme du pieu qui déchire ton sexe trempé. J’ai maintenant laissé un de mes doigts prendre la place de ma langue, et te prends le cul par de petits mouvements contraires à ceux qui martèlent ton sexe démesurément ouvert. Je sens que tu vas me faire jouir, alors je sors mon sexe de ta bouche. Je retire l’outil humide de ta chatte, et lèche tes lèvres gonflées, rouges du sang qui afflue vers elles. Je fais aller et venir ma langue dans la place béante, tandis que mes doigts jouent toujours avec ton cul.
Quand je t’ai entièrement enduite de ma salive, je me place derrière toi, qui n’a pas bougé, et enfonce mon sexe en toi. Ta chatte semble se resserrer autour de moi, tes muscles semblent aspirer mon sperme hors de ma queue, et j’ai toutes les peines du monde à me retirer d’elle pour revenir frapper ton cul de mon pubis. Tu passes ta main sous ton ventre pour enserrer mes couilles, et les presses pour que je jouisse vite. Je te sens déjà tremblante de ton orgasme à venir, et me laisse aller à mon plaisir tandis que tes mains malaxent mes bourses et caressent mon sexe qui percute ta chatte de plus en plus vite. Quand je sens que je jouis, je me retire de toi, et pressant mon gland contre ton cul, j’injecte dans tes entrailles le foutre que tu voulais sur ton dos. La surprise déclenche en toi un long orgasme, et je profite de ces spasmes pour te pénétrer encore en attendant que je ne débande, aller et venir encore un peu en toi avant de m’écrouler contre ton flanc.
Vas-tu me sucer pour que nous fassions l’amour encore ?
Sécrétions
30.10
Je regarde tes fesses dans lesquelles ma bite s’enfonce, et j’ai envie de te faire mal. Je ne peux pas te prendre plus fort, alors j’abats de grandes volées sur ton cul. Tu cries sous mes coups de reins et mes fessées mêlés, et amènes ta chatte toujours plus fort contre mon pubis, faisant claquer mes couilles contre ton ventre : Tu voudrais que je les enfonce en toi aussi. J’ai envie de t’embrasser, alors je sors de toi pour t’étaler sur le dos, écarter tes jambes à l’extrême, et pouvoir m’enfoncer encore plus profondément, que tu sentes ma bite cogner au fond de toi.
Je sens tes entrailles se resserrer contre moi, et t’embrasse à pleine bouche. Ta chatte s’élargit de plus en plus à mesure que je te laboure, annonçant que tu vas jouir. Mon sexe te brûle à force d’aller et venir en toi aussi brutalement, tu sens tes chairs s’enflammer à mon contact, me supplies d’arrêter alors que tes reins viennent toujours à ma rencontre, et que le bruit de ton sexe trempé couvre mes gémissements. Les soubresauts de ton corps viennent marquer ta jouissance, j’ai envie de jouir sur ton visage, et de lécher mon sperme sur ta bouche. Je sors de toi, et colle ma verge contre tes lèvres. Tu me pompes goulûment, avalant jusqu’à mes couilles, que tu masses en cadence, mon sexe encore trempé de ta mouille. Je sens que je vais jouir, mais tu gardes ma bite entre tes lèvres, et aspire le sperme que je lâche dans ta bouche. Je me vide en toi en malaxant tes seins dressés.
Je m’écroule contre toi, et t’embrasse à pleine bouche, goûtant sur ta langue le parfum de ma jouissance que tu avales encore à petites gorgées. J’ai encore envie de toi. Ton corps vibre encore, mais ta chatte est en feu.
« Branle-toi contre moi », me demandes-tu.
Mon sexe encore gonflé se durcit d’un coup, et je commence à caresser ton bouton avec mon gland, en laissant aller ma main sur ma bite. Je me branle contre toi en t’embrassant, ta chatte mouille de nouveau, et tu gémis de plaisir et de frustration mêlés. J’ai l’impression de me masturber pour la première fois. Dans ma tête, l’image de ta bouche avalant mon sperme s’imprime sur ta chatte, que je regarde se frotter contre mon gland. Tu agrippes mes fesses pour me coller un peu plus contre toi, et je te murmure à l’oreille que je vais jouir. J’enfonce un peu plus mon gland entre tes lèvres, et l’y laisse entrer pour que la main qui me branle vienne cogner contre ton clitoris, t’exciter encore plus. Je n’y tiens plus, et déverse mon jus dans ta chatte et sur ton ventre. Mon corps contre le tien, je sens le liquide glissant entre nous, l’étale sur ton ventre de mes mains, et dévore ta bouche.
J’ai envie de caresser ta chatte pour t’amener à jouir, mais tu arrêtes ma main. Ma tête dans ton cou, je calme ma respiration.
Jeux de langue
03.11
J’ai la tête entre tes jambes, sur le canapé. Tu portes un jean qui moule tes fesses au plus près, et un haut transparent que tu as enfilé avant de venir t’installer avec moi. Tu m’as dit avoir envie de moi, alors j’ai tourné la tête, pour poser mon index sur la couture de ton jean, et faire jouer mon doigt en le pressant sur ta chatte. Tu commences à te tortiller, tandis que je pose ma bouche sur toi, et que je te mords à travers l’épais tissu. Mes mains remontent sous ton haut, pour aller titiller, pincer tes seins, et jouer avec leur pointe… Je sens mon sexe se dresser le long de mon pantalon, mais je ne remonte pas vers toi. Je reste à genoux en dessous de toi, et dégrafe la braguette de ton pantalon pour t’en libérer. Je lèche chaque parcelle de tes jambes en te l’enlevant, passe sur tes cuisses, tes mollets, tes chevilles, remonte, laisse ma langue jouer à l’intérieur de tes cuisses, dans ce petit recoin si sensible, si près de ton sexe, pour t’affoler, t’exciter encore plus.
Enfin, je laisse un de mes doigts toucher ton sexe, déjà trempé. Il s’égaille sur ton bouton, se couvre de mouille, joue avec tes petites lèvres, avant de pénétrer ta chatte déjà bien ouverte. Ma langue vient le rejoindre, te pénètre de petits coups répétés, alternant avec de petits lapements rapides sur ton bouton. Tu t’ouvres de plus en plus, et je laisse l’un de mes doigts se mettre sur ton petit trou, avec lequel il joue. Comme d’habitude, tu te frottes contre mon visage, viens chercher mes coups de langue et de doigts, et je n’ai qu’à laisser mon doigt dressé sous ton cul pour que tu viennes empaler ton anus sur lui, que ton sphincter ne s’écarte sur lui, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ca te fait mal, me dis-tu, mais tu continues à venir chercher mon doigt, à réclamer ce petit corps qui te pénètre, pendant que ma langue continue à fouiller ta chatte, de plus en plus profondément, cherchant à te remplir complètement. J’ai les lèvres trempées de toi, ma langue passe sur ton cul pour l’humecter, remonte sur ta chatte, mange, écartèle tes lèvres, et je mords ton clitoris de plus en plus gonflé.
Le mouvement de ton cul contre mon visage se fait de plus en plus rapide, de plus en plus nécessaire, violent, saccadé. Tu cherches la jouissance, tu cherches mes doigts pour qu’ils te déchirent, à chaque fois plus profondément. Quand tu jouis, je continue à lécher ta chatte, pour ne pas te laisser redescendre. J’ai encore ma bite à te faire goûter.
Collants
10.01
Une fois assis l’un en face de l’autre, mes mots, si insignifiants face à ce que je voudrais te dire, ridicules passeports périmés pour ton âme, ne troublent que peu le silence. L’échange semble si stérile, maintenant.
Tu prends des poses pour mon appareil, te blottis contre le fauteuil, me répètes que tu as froid, et je ne peux pas te serrer contre moi… Pourquoi faut-il que tu sois d’autant lointaine que tu t’approches de moi ? Le temps s’éternise, les minutes s’accrochent aux heures. Tu ne sais pas le bonheur que je ressens de simplement te voir, la peur présente dans chacune des phrases que je lance au hasard, puisée dans la brume pour combler le vide. Je te dévore des yeux, te couve du regard comme l’enfant que je suis parfois, face à toi.
Rentré chez moi, je regarde les photos, que tu n’as finalement pas voulu faire nue. Tu es belle, vulnérable, mon appareil qui ne devait prendre que des poses à travailler plus tard a saisi une vulnérabilité que tu ne montres que rarement. Et puis un détail, qui me fait revoir la scène, comme si tu étais encore à moi…
Je sonne à la porte. Tu me regardes de tes yeux plein de sommeil. Tu as pris le temps d’enfiler un collant, une jupe et un pull léger, tu dois mourir de froid. Je t’enserre dans mes bras pour te ramener à l’intérieur, et l’un en face de l’autre, nous échangeons des mots sans importance. Je ne t’ai pas fait l’amour depuis un mois déjà, mais ces quelques minutes sont précieuses. Où nous reprenons l’habitude de l’autre, où je retrouve ta voix, ton sourire. Tu me dévoiles quelques poses que tu veux prendre pour nos photos, mais je ne t’écoute déjà plus. Tu t’arrêtes, vexée, et tes yeux se font sévères. Sautant du siège, je te bouscule contre le canapé, et pendant que ma bouche envahit la tienne, ma main glisse déjà sous ta jupe, et se colle contre ton collant. Mes doigts explorent, je découvre que tu n’as pas mis de culotte, et sens déjà ma paume s’emplir de ta cyprine qui envahit le tissu.
Doucement, je remonte le long de ta hanche, pour glisser le fin tissu sur tes chevilles, et plonge mon nez entre tes jambes. L’odeur âcre des femmes du désert m’envahit et m’enivre, alors que ma langue te pénètre déjà. Tu te cabres sous la caresse, ton corps vibre et tressaute, ton bassin venant contre mes lèvres chercher son soulagement. Ton sexe se délasse enfin de nos conversations toujours plus chaudes, à force de s’attendre. En quelques secondes, tu m’inondes le visage entier, et c’est trempé que je rejoins ta bouche pour t’embrasser à pleine langue. Tes mains s’agitent contre mon pantalon, trouvent le premier bouton, défont d’un geste les autres, et mon sexe est à peine sorti de son carcan qu’il plonge en toi d’un coup. Tu pousses un gémissement de contentement bestial, alors que mes dents trouvent ton cou pour bloquer le mien dans ma gorge. Je te laboure doucement, au rythme de ton souffle, pour ne pas exploser trop vite. Je sais que cette étreinte sera courte, tant le désir me prend. Alors je prends le temps de sentir chaque millimètre de ton sexe qui court contre le mien, chaque mouvement de ton vagin autour de moi. Tu es encore aussi serré qu’au début quand je sens que je vais jouir. Pourtant trempée, ta tête oscillant de droite et de gauche, le plaisir est trop fort pour que tu jouisses de mon mouvement. Lentement, je m’enfonce en toi une dernière fois pour me répandre au plus profond de ton ventre. Quelques frissons parcourent mon dos, et je sens monter en toi cette jouissance que tu attendais, déclenchée par la semence chaude que je répands en toi. Tu trembles de tous tes membres pendant que je te sers contre moi, presqu’affolé par ton absence…
La photo est toujours là… Par l’une des poses, tu as dévoilé ton sexe lisse sous ton collant. Je ne l’avais pas vu en prenant la photo. Mais j’aurais dû m’en douter en voyant ta promptitude à te rajuster. Bien sûr, ce n’était pas intentionnel. Tu t’es habillée vite, ton collant suffisait. Si seulement…
UP TO DATE : En fait, tu avais une culotte. Comme quoi…
Défenses
12.04
Nos deux bouches se cherchent, se trouvent, s’emmêlent. Dans le froid, sous un grand manteau de cuir, mes mains cherchent déjà tes courbes, trouvent un bouton à défaire, une barrière à franchir. Sur les marches, sous la grande Arche de la Défense, je tire sur la ficelle de ton string pour qu’il comprime ta chatte et excite ton cul, avant de l’écarter pour laisser place à mes doigts contre ton sexe. Tu frémis au contact froid de ma paume contre ton pubis lissé par un rasoir. Ta vulve est déjà humide de mes caresses.
Je découvre l’épaisseur de tes lèvres, apprends la douceur de ton vagin. De mon autre main, je cherche le clip de ton soutien-gorge, qui glisse déjà dans ton dos. Allongée entre mes jambes, ton bassin vient chercher mes doigts pour qu’ils s’enfoncent en toi, pendant que mes yeux se perdent vers l’Ouest, où le soleil est en train de disparaître, couvrant nos émois. De temps en temps, des passants tardifs interrompent le jeu de mes doigts dans ta chatte et sur ton cul, te laissant haletante de désir frustré. Tu me regardes, les yeux flous, et m’embrasses goulûment en cherchant ma langue. Dès que les voyeurs repartent, mes phalanges reprennent leur chemin vers ton ventre, reprennent vite leur place dans ton sexe si serré où ils continuent à jouer contre l’intérieur de ton ventre. Puis vite, je ressors mes doigts pour presser ton clitoris impatient. Mon autre main enserre ton sein libéré sous ton pull, excite ton téton durci par le désir et le froid, et presse tout ton corps contre ma bite qui grandit dans ton dos.
Ta bouche a faim de mon plaisir, et tes mains, tandis que tu te tournes sur le flanc, défont maladroitement les premiers boutons de mon pantalon. Sous le manteau, tes mouvements se font de moins en moins discrets, alors que ma main profite de ton mouvement pour caresser puis envahir tes fesses dressées. Je sens le froid s’insinuer jusqu’à mon périnée tandis que tu dégages ma bite de mon caleçon pour la branler. Tu regardes mon sexe, comme fascinée. Un instant, même mes doigts n’arrivent plus à te détacher de mon sexe dressé si près de ta bouche. J’enfonce un doigt dans ton cul pour te rappeler à ton plaisir, et ton corps tressaute, surpris par l’assaut. « Tu as fini par me violer », me glisses-tu à l’oreille. Puis tes lèvres glissent le long de mon ventre et avalent mon pénis que tu avais laissé dans ton cou. Mes doigts s’arrêtent, surpris par le contact soyeux du fond de ta gorge, tandis que tes mains massent doucement mes couilles que tu découvres.
Je me penche vers l’arrière pour profiter de ta bouche, ramenant le manteau sur ta tête pour cacher les mouvements de va-et-vient de ta nuque sur laquelle j’appuie une main fébrile. J’ai rêvé ta bouche contre mon ventre depuis des jours. Je sens tes amygdales au contact de mon gland que tu décalottes de tes lèvres habiles. Quelques instants la tête en arrière à chercher la jouissance de ta gorge, puis mes mains glissent de nouveau le long de ton dos et de ton ventre, attrapant et malmenant un sein au passage. Je voudrais te mordre. Déjà mes doigts retrouvent la chaleur de ta chatte, s’égaillent dans ton sexe, te baisent jusqu’aux paumes. Ils envahissent ton cul et tes lèvres bien écartées. Et ressortent très vite pour branler ton clitoris.
Ta bouche s’arrête sur ma bite alors que mes doigts filent le long de ton bouton. Tu halètes de plus belle, ton souffle si rapide que tes poumons s’affolent. Ta main presse mon sexe contre ta joue, fort à me faire mal. Mon doigt sort de ton cul pour venir à ta bouche, et tu le suces goulûment en plongeant ton regard dans le mien. Tes fesses se soulèvent du sol froid en cadence, cherchant plus fort le contact de mon doigt qui torture ton clito. Ta tête balance de droite et de gauche, tu gémis doucement, et enfin je sens ton bassin tressauter, ta chatte se resserrer par à-coups, marquant ta jouissance. Je retire doucement ma main de ta chatte pour la porter à mes lèvres et lécher mes doigts. Quelques secondes passent ainsi, ma bite toujours contre ton visage. Puis tu sembles t’éveiller à nouveau, et me souris en prenant mon sexe dans ta bouche. Tu me suces d’abord doucement, semblant remercier un sexe qui ne t’a pas encore découverte. Puis tu accélères ton mouvement alors que j’aperçois la ficelle de ton string dépasser sous ton pantalon presque baissé sur tes jambes. Je me laisse perdre par le plaisir entre tes lèvres, goûte chaque centimètre de ta gorge contre ma pine, chaque mouvement que ta tête effectue alors que ta main s’aventure sous mes couilles. Je te revois te branlant devant moi, fantasme ton cul relevé sur un lit, en attente de mon sexe qui te transpercerait d’une poussée alors que tes mains se perdraient dans ta chatte.
Ta bouche me quitte quelques instants pour que ta main m’amène si près de la jouissance. Je regarde ma bite au sein de ta paume, humide de ta salive. Ta main glisse sur moi, ton autre paume presse mes couilles et je sens ma prostate qui se contracte. J’attrape ta tête docile pour la ramener sur mon gland, que tu suces comme un bonbon. Quand je sens mon sperme monter, je presse ta nuque pour faire descendre ta bouche le long de ma hampe, et amener tes lèvres contre mon pubis. Calé au fond de ta gorge, mes hanches viennent au devant de tes mouvements cherchant toujours à m’engouffrer plus au fond de toi. Je jouis sans même que tu sentes mon sperme qui se perd déjà dans ton estomac. Puis son goût t’envahit, et je te sens déglutir sur moi pour n’en rien laisser.
Le regard fou, je me redresse, et portant tes lèvres contre les miennes, t’embrasse à pleine bouche. Je sens le goût de mon jus sur ta langue, et une de mes mains part se perdre contre tes fesses pour flatter ta chatte et ton cul de nouveau trempés. D’un regard circulaire, nous vérifions vainement que personne n’était là pendant nos jouissances, mais il n’y a, maintenant, plus personne qu’un garçon à sa fenêtre, sur la droite, et qui disparaît bien vite. Il n’a pas pu voir grand-chose, mais l’idée nous trouble. Tu te sers contre moi, emmitouflée dans mon manteau qui, maintenant que le désir est tombé, ne nous protège plus du froid. Le soleil est couché depuis longtemps maintenant. Seule l’Arche immense couvre de sa masse notre sage étreinte.
Cinéma
14.05
Ton corps frêle a ondulé sous mes yeux toute la journée. Une robe cintrée m’a rappelé le creux de ta hanche, où mes mains se nichaient si bien. Une chaussure trop haute, le fin galbe de ton mollet où je posais mes lèvres.
La journée avançant, nous nous réfugions dans un cinéma. Le film n’est pas inintéressant, mais mes yeux valsent de l’écran à ton visage… Enfin, ma main quitte l’accoudoir pour rejoindre ta cuisse. Assez bas pour n’être pas indécente, assez haut pour signifier mon désir. Mon pouce dessine des cercles appuyés contre la toile tendue de ton jean, le reste de ma main immobile au dessus de ton genou.
Ta main tombe sur la mienne. Un instant, je crois que tu vas l’immobiliser, ou la retirer de ta cuisse, tant elle heurte violemment la mienne. Mais ton regard ne dit rien. Tu fixes l’écran, imperturbable… Alors que ta main pousse imperceptiblement la mienne plus haut vers ton entrejambe. La ronde de mes doigts reprend, toujours aussi légère, juste assez appuyée pour que tu n’oublies pas mes phalanges.
Ta main accélère la montée de la mienne.