Dans les toilettes

2012
24.02

Lui :
Je crois que j’ai perdu le goût de ton sexe sur ma langue. Il va falloir effectuer une update.

Elle :
Tu m’envoies ça au boulot
T es
Vraiment
Tsssk

Lui :
Oui, mais t’as rougi 😉

Elle :
J ai eu surtout une montée d envie
Ahem

Lui :Oui, t’as rougi, après, tu rougis d’où tu veux, petite fouine
Tu pourrais même aller jusqu’à imaginer qu’un client avec un grand manteau de cuir rentre dans ton magasin, regarde quelques articles d’un air absent pendant que tu l’observes, et que tu l’entraines dans l’arrière boutique pour le serrer entre tes jambes.

Elle :
Tais too
Toi
Omg
C est pas
Le moment

Lui :
Tes doigts se perdent dans ses cheveux alors que sa langue a déjà trouvé le morceau de métal qui t’électrise…
Tu le sens entre tes jambes, juste maintenant, ce petit morceau froid que tu n’as qu’à enserrer un peu en serrant tes cuisses pour faire bouger ?

Elle :
Je ne lis pas
Bla bla bla

Lui :
Tu imagines une langue s’entremêler dans les replis de ton corps, des doigts qui montent déjà à l’assaut de tes cuisses, jamais assez vite…

Elle :
Arrête ça
:$

Lui :
Est-ce que tu sens ta chair s’ouvrir à l’assaut des mains qui ont atteint la chaleur du petit repli de peau si chaud entre tes cuisses…
Un doigt qui devrait être trop large gagner trop facilement le fond de ton ventre

Elle :
Je commence à avoir chaud

Lui :
Tu sens tes cuisses qui frémissent, ton ventre qui appelle déjà des caresses précises, la pression trop forte de tes lèvres sur ta culotte ?
Tu imagines mes lèvres parcourant ton cou, mes mains effleurant ta poitrine, mes doigts te fouillant déjà trop facilement ?
Tu te rappelles la chaleur de tes joues en regardant mes lèvres disparaitre entre les fesses que tu avances vers moi ?
Le tremblement à peine perceptible de ton bassin sous le premier effleurement de ma langue sur toi ?
Alors imagine la délicieuse sensation que tu aurais à sentir le poids d’un homme se faire plus présent sur toi, l’impatience de te sentir remplie par le sexe dressé que tu espères…
Tes doigts meurent de ne pas trouver le chemin de ton sexe plus rapidement…
(Et ma victime est partie travailler 😉 )

Elle :
Je vais mourir

Lui :
Alors trouve un prétexte pour aller dans l’arrière-salle, ou va aux toilettes, et touche-toi
Tu auras une idée de l’état dans lequel me met le fait de t’attendre…
Imagine que la sensation de ton sexe autour de mes doigts est toujours présente… Et appelle un retour
Que je sens toujours tes mains m’effleurer dans la pénombre
Que l’odeur de tes cheveux fous contre mon visage me hante
Que je sens encore ton bassin onduler contre mon sexe alors que tu perds le contrôle de tes mouvements
Trouve la chaleur que je désire et explore là juste l’instant de ressentir mon désir
Celui qui se dressait contre ton sexe au rythme de tes hanches
Et qui aurait voulu te voir défaillir sous ses mains
Effleure ton sein en te rappelant ma langue qui le parcourt… La sensation de ton téton vibrant sous mes assauts, alors que ton ventre appelle un apaisement
Souviens-toi de ton abandon pendant que mes doigts te forcent, et aventure tes doigts dans ce souvenir

Elle :
Tu peux pas dire ça

Lui :
Que je te force ? Un homme force toujours un peu une femme, c’est pour ça qu’elle vibre… Il faut qu’elle s’abandonne
Qu’elle rende les armes, qu’elle lutte, juste assez
Il faut que ton sexe résiste à mon assaut pour que tu le goûtes plus fort, comme tes propres doigts pourraient te forcer juste un instant avant que tu défailles…
Il faut que les parois de ton sexe battent au rythme de tout ton corps pour que tu t’abandonnes…
J’ai envie de savoir tes lèvres qui gonflent, ton ventre qui palpite, tes seins devenus soudain plus lourds de ne pouvoir être caressés
J’ai envie de te savoir prête à attraper le premier mâle sous tes yeux pour soulager tes jambes qui flageolent…
Et ton soulagement, et ta frustration mêlés de trouver le secours de tes mains dans un recoin sombre, alors que tu ne devrais pas.

Elle :
Tais toi

Lui :
Tu vois. Il faut que tu résistes… C’est plus fort que toi, tu es à conquérir. Et pas seulement parce que des yeux indiscrets pourraient déceler ton trouble dans les tressauts de ta bouche qui brille plus qu’elle ne devrait
Tu veux être prise d’assaut, pour que ta faille découvre la victoire d’un corps étranger
Tu rêves d’ouvrir largement tes cuisses, ton ventre, mais tu les sers un peu plus à chaque attaque

Elle :
Tu as gagné

Lui :
Je n’aurais gagné qu’en connaissant le soupir qui se dessine sur tes lèvres trop rouges
Qu’en ressentant moi aussi les vibrations de ton désir sous tes yeux qui se ferment…
Qu’en connaissant les doigts qui cherchent le chemin de ton apaisement
Qu’en imaginant la place que prends ton clitoris au milieu de ton être, de plus en plus gonflé, emportant avec lui tes pensées, tes remords, tes barrières..
N’appelant plus que les frôlements qui pourraient le calmer

Que tu oublies où tu es, pour te laisser aller là où nous ne serions que deux à te voir.

Elle:
Too late
Je viens
De me faire jouir

En te relisant
Tu me rends dingue

Lui :
Si je te dis que c’est par tendresse pour toi, j’espère que tu me crois
Mais il faudra que tu me racontes…

Je te déteste

Lui :
Moi pas.

Elle :
M enfermer aux toilettes pour me toucher pendant que je bosse..
Oh god

Lui :
J’aurais donné cher pour te voir…
Et embrasser tes lèvres une fois que le plaisir t’aurait enlevée
Merci.

Elle :
Viens m’embrasser

Lui :
J’aimerais bien.
Ca, ça ne tient qu’à toi
N’y vois pas une pression, mais tu n’as qu’à me donner l’adresse de ton taf, et je viens te retrouver, on ira boire un verre quelque part.
Mais je m’avance peut-être

Ou alors, je peux répondre : Considère que mes lèvres sont déjà sur les tiennes, et voilà

Elle :
Ajd je vais au ciné
Mais un autre jour
Oui

Lui :
Tu finis trop tôt pour que je vienne avant… Ce n’est pas beau de provoquer, franchement, petite allumeuse, on se demande comment tu oses :p
Et voilà… Mademoiselle a joui, alors elle abandonne 😉

Elle :
J ai des clients
Chut

Lui :
Pfff, je recommencerais à te parler de ta chatte écartelée par mes doigts pendant que ma verge se frotte contre tes fesses sous ta jupe relevée rien que pour t’embêter, tiens
Ton esprit a l’air très réceptif aux images, en sus. C’est à croire qu’il suffit de suggérer pour que tu y penses
Je te vois facilement, les mains en appui sur un bureau ou une table, les jambes très légèrement écartées, à sentir déjà quelque chose qui glisse entre tes fesses

Elle :
Mais t as fini ??
Oui je suis hypra réceptive
Et
Pffff
J ai des images
Et je peux juste rien dire
Salopard

Lui :
J’ai envie que tu ressentes comme j’ai envie de te voir. Je vais finir par m’envoyer la première venue pour me calmer.
Elle :
Quelle tristesse

Lui :C’est de ta faute.
Alors que je pourrais juste passer ma main le long de ton ventre en plongeant mes lèvres dans ton cou…
Puis ma main viendrait trouver ta joue pour approcher ta bouche de la mienne alors que mon corps se rapprocherait du tien, toujours derrière toi… Que tu tendrais tes fesses vers moi pour sentir mon pantalon se raidir à ton contact
Il faut savoir que je te provoque gratuitement, j’ai très envie de te trouver dans mes bras, en fait.
Mais tu es beaucoup plus réactive à l’idée que mon sexe pourrait s’immiscer entre tes cuisses sous ta jupe alors même que tu regardes le magasin où tu travailles se vider de ses clients juste avant la fermeture…
Evidemment, il faudrait que je sacrifie une deuxième culotte, sans doute avec cette grande paire de ciseaux que j’aurais mise sous le comptoir. Et tu te tortillerais au contact de la lame glacée quand elle effleurerait l’intérieur de tes fesses en découpant le tissu
Que faisons-nous… Je te pénètre une fois ta culotte entaillée, ou je te laisse sortir à l’air libre avec ton sexe offert aux aiguillons du vent qui s’insinue entre tes jambes ?
En fait, tu n’aurais pas dû remettre ta culotte.
Tu te souviens, il y a à peine une heure de ça, de tes doigts qui fouillaient ton sexe ?

Elle :
Chut
Ça suffit
Je vais sagement rentrer maintenant
🙂
Et je ne lis plus
Lui :
Enlève ta culotte.

Tu devrais avoir honte de débaucher d innocentes jeunes filles
Impossible

Lui :
C’est toi qui me débauche

Elle :
Je suis en rue
J ai quitté le boulot il y a 3 min

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